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Mais par quel moyen peut-on être sûr que c’est logement la ‘ renommée ‘ qui est à l’origine d’une dégradation de la santé mentale d’une personne connue ? Est-ce qu’une « star » n’aurait pas pu développer un émoi état psychique même si elle était restée une de qualité fraîche ? Autrement dit, certaines stars n’auraient-elle pas des « possibilités au mal-être » ? Il semble que cela soit souvent le cas, à en penser des faits d’acteurs comme Catherine Zeta-Jones, Jim Carrey ou ben ten Stiller qui ont fait dernièrement leur coming démodé en présageant qu’ils étaient atteints d’un tourmente bipolaire ( ce sont essentiellement des critères génétiques qui sont à l’origine de ce trouble ).

Toutes les règles ont connu des idoles, ou des brave qui ont été célébrés et réputés. En réalité, le mix entre les activités immensurables, les vacances, l’abondance et l’existence privée remplie de vie amoureux, de pandémie ou de naissance créer une attraction haute. Les personnes célèbres sont en même temps inaccessibles et proches, ce qui rend leur quotidien captivant. De plus, la sorte qu’ils sont, entourés d’autres stars, se contente de renforcer cette effet. Pour se joindre dans le rayon du , la célébrité, de son vivant ou après sa mort, doit assez fasciner tout en reste près de son public. C’est essentiellement le cas avec la mythologie hollywoodiens dont l’histoire, souvent admirable, fait rêver.

Dans Hello Magazine, en 2008, Jennifer Aniston vivait normal « de suffire de temps en temps auprès d’un psy pour se rétablir les idées en place. » Mais elle se reprenait instantanément en exposant d’elle à la 3 ième personne : « N’écrivez pas que Jennifer Aniston est loufoque ! » comme tout signe de faillibilité, se le dire une excitation état cérébral, ponctuel ou archives, ou alors une addiction, entache pratiquement irrévocablement une « bankabilité » et un crucial confiance des studios hollywoodiens. Pour preuve, la engrenage barbare vécue par robert Downey Jr à la fin des années 90 et largement relayée par les médias. Cinq années de stupéfiant, d’arrestations, d’emprisonnements, de thérapeutique et de rechutes à reprise ont faillie expédier d’Iron Man les abysses de Hollywood. C’est à son mignon Mel Gibson, lui-même habituel des abus alcoolisés, que la star de Sherlock Holmes doit son salut professionnel. Gibson aura été le premier agriculteur, en l’an 2003, à accepter de garantir robert Downey pour son rôle The Singing Detective.

Autre étape du développement, le période du glaçon de Lacan, est le moment de se construire tout entier dans son virtuel. L’enfant devant le miroir passe de la photographie reflétée au regard familial et attend l’acquiescement de son atterrissement. Le regard de l’autre est radical de la manière dont on s’imagine soi. Ainsi convient-il de paraître pour construire qui l’on est. La dans la rue inquiète le passant pour savoir dans quel imaginaire elle se réalise. Ce que le passant renvoie est une vision d’un monde mode irréel. L’image reflétée par l’admirateur est souvent celle d’un cosmos. Le célèbre, dorénavant astronomique, sort de l’espace et est une référence enchantée de lui-même. Ce qu’il voit dans les regards participe à le constituer à une différente échelle que celle de l’humanité.

Tous n’ont pas le même souci. La réputation concorde fréquemment avec un train de vie qui toutes les adorations. La fête d’abord ponctuelle est , jusqu’à n’être plus du tout gage d’amusement. Whitney Houston fait maintenant partie de ces célébrités qui, au summum de leur popularité, ont pris goût à la médicament, et ont vu leur carrière, et même leur vie dissolue dans la chimie de leurs recueil. Et puis il y a ceux qui malgré un équilibre obvious, n’ont plus eu la force d’endurer les déboires de la gloire. Vies traquées, relations intéressées, perturbées, liaison amoureuse violée, ils s’appelaient Dalida, Marilyn Monroe, Robin Williams ou encore Heath Ledger, et la gloire a violent leur spécificité, la rendant ignoble, additionnement, ne leur donnant plus qu’une porte de sortie, triste

Explication la plus évidente : nous autres individus aimons vivre par procuration; nous identifier aux spécimens plus riches, plus notoires, plus beaux et plus puissants que le restant de notre genre. Qu’elle soit formulée en termes de contrevent, d’admiration ou de raillerie, la appétit pour les stars est tout d’abord une transfert : nous tentons d’imaginer ce que ce serait de vivre l’existence plus et plus sympatique. Ainsi la vie de désir de Charlie Sheen correspond-elle aux fantasmes de très loin d’entre nous, qui aspirent à s’affranchir des normes bourgeoises. Partir en weekend aux Bahamas sur un gerbe privatisé dans jolies célébrités du plaisir, remplir une paquet de briques de prise, acheminer paître votre patron : face à un tel conduite, le «quelle flétrissure ! » n’est jamais très loin du «si seulement c’était moi…».

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