Texte de référence à propos de Leak Camille BD
Avec le développement du réseau internet en 1989, utilisent de plus en plus l’ordinateur. Dès 1997, on peut se développer un profil en ligne et se inscrire avec une relation amicale sur le tout premier réseau social, appelé « sixdegrees ». Mais le premier grand réseau social est Facebook, créé en 2004 par Mark Zuckerberg. À l’époque, il s’agit seulement d’un « mur » en ligne où il est possible de poster du texte et des photos. On ne pouvait pas encore « adorer » ou « partager » des textes, des photos ou des articles. de même, de nombreux autres réseaux furent créés. En 2006, c’est la naissance de Twitter : il sert à partager des contenus très petits, souvent en lien avec l’information. En 2010, c’est le saut d’Instagram, qui sert surtout à poster des photos, des vidéos et des stories, des petits bilans en image de sa journée. Et en 2016, TikTok arrive, en se spécialisant uniquement sur les vidéos courtes. S’il est né en 2004, c’est en 2006 que Facebook prend très son envol : le réseau social permet à tout le monde de s’inscrire et passe d’un club destiné aux étudiants de Harvard à un réseau mondial.
quotidiennement, nos comportements sont influencés par les normes sociales qui nous entourent. En agissant selon les normes sociales, l’individu agit aux normes avec les manières les plus consensuels et ainsi reçoit de l’approbation de son groupe. Qu’est-ce qui influence la conduite ? Nous distinguons trois facteurs qui influencent le comportement des personnes : Les profils inhérentes. Les compétences et capacités acquises sur le long terme. L’environnement dans lequel se trouve la personne. On peut ainsi dire que la société bataille contre la nature de l’homme n14, car elle inhibe sans cesse ses instincts. par ailleurs, la société apprend à l’homme qu’il faut suivre des règles, ce qui fait que toute spontanéité y est brimée. La société est ainsi un phénomène culturel qui transforme la nature de l’homme. Quels sont les processus de l’influence sociale ? La facilitation sociale, la comparaison sociale, la normalisation, le conformisme, la soumission à l’autorité et les processus d’influence majoritaire et minoritaire sont des formes d’influence. Les cinq premiers sont des pressions exercées de la part de la société vers le groupe et l’individu. On peut ainsi dire que la société bataille contre la nature de l’homme n14, puisqu’elle inhibe sans cesse ses instincts. de plus, la société apprend à l’homme qu’il faut effectuer des règles, ce qui fait que toute spontanéité y est brimée. La société est ainsi un phénomène culturel qui transforme la nature de l’homme. Quels sont les process de l’influence sociale ? La facilitation sociale, la comparaison sociale, la normalisation, le conformisme, la soumission à l’autorité et les process d’influence majoritaire et minoritaire sont des formes d’influence. Les cinq premiers sont des pressions exercées de la part de la société en direction du groupe et l’individu.
En pleine campagne présidentielle aux USA, il part à la « trouvée des gens » en selon un groupe de 600 électeurs du comté d’Erié dans l’Ohio. Durant cette enquête, il démontre que le vote n’est pas seulement un choix personnel mais qu’il existe des variables liées au… réseau social de l’individu. On découvre que les réseaux amicaux et les milieux familiaux sont globalement homogènes dans leurs choix politiques. Pour la première fois sont évoqués les opinion précurseurs dans une théorie de l’influence interpersonnelle. Leurs modalités pourraient être une forte sensibilisation aux médias et une capacité de reformulation des missions vues dans les échanges quotidiens. Ils ont donc un rôle d’intermédiaire, de facilitateur, de relais. Un pas est dès lors franchi dans l’étude des réseaux : la visibilité n’est pas unidirectionnelle et directe vers un récepteur docile, elle est à deux étages et se passe en deux temps, à travers des relais d’information ( the two-step flow of communication ). Puis dans Personal Influence publié en 1955, il en ressortira que les relations interpersonnelles sont supérieures aux réseaux dans les actes de décision. En somme, les théories de la seringue hypodermique et de médias ultra-puissants deviennent obsolètes. Les effets des médias sont indirects et limités par les possibilités de mesure des individus et leur réseau social.
il existe peu d’estimations qualitatifs de la dimension de l’industrie des influenceurs. L’une d’entre elles, réalisée en 2020 par le Bureau national des statistiques de Chine, où les influenceurs ont acquis une certaine notoriété plus rapidement qu’en Occident, estimait sa contribution à l’économie à 210 000 000 000 de dollars, soit 1, 4 % du PIB. Comme pour tout ce qui touche au numérique, la pandémie apparait lui avoir donné un coup de fouet, puisque davantage de personnes étaient rivées à leur smartphone pendant une plus grande partie du temps. L’écosystème des influenceurs remet en question les principes traditionnels de la gestion des marques de luxe. En plus d’être unidirectionnelles, les campagnes ont eu tendance à être standardisées, immuables et coûteuses. Un groupe exclusif d’actrices blanches pourvues de pommettes de la bonne forme était censé la constance, ainsi que l’opulence. Le même rire sur la même photo de la même vedette hollywoodienne devait inciter les passants à acheter un article pendant de nombreuses années. Julia Roberts et Natalie Portman sont chacunes depuis une décennie les visages des parfums La Vie est Belle de Lancôme et Miss Dior. Les stars comme les marques ne pensent pas combien d’argent change de mains, mais les sommes se chiffrent en centaines de milliers de dollars. Selon un rapport, le montant dépensé par LVMH pour la totalité de la campagne Miss Dior s’élève à “moins de 100 millions de dollars” l’année dernière.
Un réseau social c’est un système de communication qui permet par le net, de démultiplier ses client potentiel de façon sélective, d’entrer en relation avec des personnes qui vous seraient inconnues ou inaccessibles sans cette plateforme relationnelle, d’échanger des idées, des points de vue, des informations, via les « hubs » ( forum de discussions ), de se faire connaître et repérer, de trouver des opportunités notamment d’emploi ou d’affaires… Ils permettent de renouer des client potentiel, bénéfiques professionnellement, avec d’anciennes relations ( d’études, de stages, de milieux professionnels, d’amis ) mais aussi d’enrichir son carnet d’adresses. Ce réseau vous permet d’accéder aux 75 % des prix du « marché dissimulé » du marché du travail et d’accéder à des informations que vous n’auriez pas pu avoir ou à des personnes que vous n’auriez pas pu joindre sans cet outil. Ils peuvent aussi être utilisé pour se renseigner sur un emploi, une entreprise, son futur hiérarchique afin de bien préparer son entretien professionnel. D’ailleurs l’exercice du réseautage est une véritable pratique d’intelligence économe qu’utilisent de plus en plus les recruteurs et « chasseurs de tête » mais aussi directement les services recrutement des entreprises. il correspond de être clair et complet sur sa page perso et sur ses objectifs et les tenir à jour pour que son réseau soit efficace, il faut l’animer et discuter pour le faire vivre, donner des informations bénéfiques, vrais, intéressantes pour en recevoir d’identiques, faire le choix de la qualité des client potentiel plutôt que de la quantité ( consommatrice de temps elle peut nuire « gravement » à l’efficacité ), sur un réseau professionnel ne pas oublier d’être professionnel, faire de la virtualité des partenariats un moyen pour entrer dans la réalité des rencontres y compris en utilisant le téléphone ( mobile bien entendu ), ne pas vouloir être présent sur tous les sites mais targetter selon ses objectifs, et pour finir, ne pas oublier le bon vieux principe de politesse ( remercier, encourager, féliciter… ) …
Certains nouveaux formats, comme les REELS sur Instagram, furent ajoutés pour concurrencer TikTok et donnent la possibilité de développer un contenu viral. Attention, pour que votre contenu devienne viral ou qu’il ait simplement une bonne portée organique, il faut qu’il soit de qualité. Ce qui est vraiment important quand vous investissez du revenu publicitaire dans la gestion de vos réseaux sociaux, c’est de pouvoir mesurer votre retour sur investissement. N’hésitez pas à prendre le temps de paramétrer convenablement l’accompagnement des conversions afin d’être en mesure de savoir exactement combien vous a dévoilé la publicité. Vous n’avez pas le temps de poster sur les réseaux sociaux de façon constante. Les plateformes sociales ( et vos abonnés ) apprécient suivre des comptes dont les contenus sont actualisé régulièrement. il faut donc choisir une fréquence ( comprise entre 1 fois hebdomadairement et 3 fois journalier selon votre secteur d’activité et l’attrait de votre marque ) et s’y tenir. Si vous publiez tous les jours pendant un mois, que vous arrêtez pendant 2 mois etc. Cela fera plus de mal que de bien à votre marque. Vous n’êtes pas en mesure de fournir du contenu de qualité. Si votre contenu est un contenu de basse qualité, je vous recommande vivement de ne rien poster et de donner le job à un professionnel qui connait les codes des différents réseaux et qui pourra produire du contenu qui va attirer les internautes. Voici quelques exemples de contenu de basse qualité.
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