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Le chantre Stromae confiait enfin être « effarouché » pour sa santé mentale, et qu’il voulait s’arrêter dans sa carrière. Trop d’effets ? Trop de épuisement ? Trop de médiatisation ? Stromae n’est pas l’unique signe à évoquer la question de la santé mentale en lien avec l’exposition médiatique : de Marilyn Monroe à Britney Spears, les photos sont abondant. Alors la gloire pourrait-elle vraiment faire « vesser les plombs » ? voila quelques éléments de réponse.
Notre comportement est fréquemment influencé par des acteurs de cinéma, athlétes avancée, musiciens ou hommes politiques… Ce phénomène n’a rien de nouveau et semble être incalculable par les monde, continents ou différentes situations de l’histoire. Pourquoi ? Il n’existe pas encore de réponse logement se trouvant de nos jours bien que cela “culte de la célébrité” déclenche des comportements apparemment irrationnels. Par exemple, il est difficile de réaliser pourquoi quelqu’un est prêt à dépenser des sommes astronomiques pour acheter des produits aussi communs qu’une théorbe, un sacoche ou même un démêloir, si ces objets ont été à une personne célèbre. Presque $1, 000, 000 pour les groupe de golf de John franc. Kennedy ou $400, 000 pour son coin à pèse-bébé ? Un morceau de de la chansonnière Britney Spears vendu sur Ebay pour $14, 000 !
Dans Hello Magazine, en 2008, Jennifer Aniston incarnait normal « de suffire de temps en temps auprès d’un psychanalyste pour rétablir les pensées en place. » Mais elle se reprenait immédiatement en exposant d’elle à la 3 ième personne : « N’écrivez pas que Jennifer Aniston est absurde ! » etant donné que tout signe de fragilité, avouer une agitation état psychique, prompt ou souvenirs, et même une addiction, entache quasiment sans appel une « bankabilité » et un crucial confiance auprès des garçonnière hollywoodiens. Pour preuve, la rouage bestiale vécue par Downey Jr au bout des années quatre vingt dix et largement relayée par les médias. Cinq années de toxique, d’arrestations, d’emprisonnements, de médicale et de rechutes à recommencement ont insolvable transporter d’Iron Man les abysses de Hollywood. C’est à son mignon Mel Gibson, lui-même pratiqué des abus alcoolisés, que la de Sherlock Holmes doit son salut professionnel. Gibson aura été le premier producteur, en l’an 2003, à accepter d’assurer robert Downey pour son rôle dans The Singing Detective.
Mais si tous peuvent essayer leur chance, appartement peu en sortiront gagnant et beaucoup se casseront les dentier sur ce beau rêve. Jamel Debbouze le montrent ainsi : ‘ Je ne suis pas un cas pratique. Je suis une exception. ‘ Voilà pourquoi la majorité est des stars éventuel. Mais, jusqu’à maintenant, rien ni personne n’a pu la recette supérieure du succès. La renommée restant un jeu social conquistador géolocalisé entre la succès remportée par le meilleur et l’aubaine qui exalte le plus bienheureux. On en connaît certains éléments, mais envisagez de, pour que la mayonnaise prenne, une assistance si admirable et mystérieuse qu’elle en est inquiétant.
L’arnaque. Le désastre des vedettes. De Johnny Hallyday à la femme du King, Liza Marie Presley, en passant par Benjamin Castaldi et Isabelle Adjani, multiples sont les personnalités qui ont eu affaire à des escrocs du genre sebastien Madoff ou Christophe Rocancourt. On pense aussi à l’ancien double gymnaste du monde de lutte Christophe Tiozzo ou à la skieuse française la plus titrée du mythe en Coupe du monde, Carole Merle, qui ont laissé leur fortune entre les mains d’arnaqueurs. Par l’intermédiaire de placements dangereux de la part de «gens de confiance», l’un comme l’autre se sont retrouvés, du jour à demain, avec 2 000 000 000 d’euros de crédits ( regarder ci-contre ).
Explication la plus évidente : nous autres individus aimons vivre par procuration; nous identifier aux modèles plus riches, plus connues, plus beaux et plus attendus que le restant de notre genre. Qu’elle soit formulée en termes de volet, d’admiration ou de persiflage, la séduction pour les célébrités est tout d’abord une empathies : nous tentons d’imaginer ce que ce serait de vivre l’existence plus et plus sympatique. Ainsi la vie de tendresse de Charlie Sheen correspond-elle aux besoins de loin d’entre nous, qui souhaitent s’affranchir des normes bourgeoises. Partir en vacances aux Bahamas sur un gerbe privatisé au milieu de jolies célébrités du porno, remplir une bagage de briques de prise, transporter pacager votre patron : face à un tel conduite, le «quelle embarras ! » n’est très loin du «si seulement c’était moi…».
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